mardi 22 août 2017

Variation saisonnale

Même pas la rentrée encore et on vient déjà  me faire chier !
J'ai pas eu d'été et on va me pourrir l'automne ?
Le printemps n'avait pourtant pas été gai.
Et l'hiver vient... (ok, je plagie)

Printemps, temps du renouveau : les emmerdes bourgeonnent à foison comme les cons
Été, saison estivale : les vagues de l'ennui me submergent et me noient
Automne, couleurs chatoyantes : rouge, orange, jaune, comme la colère, la rage et la bile
Hiver, tout s'endort et s'apaise : Sauf moi qui sui encore de la baise...

Le bilan est désolant, hein.
Ouais.
Va se remuer le cul et arrêter de geindre la Lahna, parce qu'elle fait chier. Et moi la première.



Parfois

On a besoin d'amour,
Ou de tendresse,
Ou encore d'écoute,
Ou bien même d'attention,
Ou mieux encore de compréhension,
Et pourquoi pas d'illusion.

mardi 8 août 2017

C'est chiant

C'est chiant. C'est chouette mais c'est chiant. Quand on a trouvé son pareil.
C'est chiant parce qu'on veut lui damer le pion mais qu'il adopte la même posture. Alors on a le bec dans l'eau, l'herbe coupée sous le pied. Quand on voulait le punir et qu'il nous punit de la même façon. Et qu'il va falloir faire preuve de patience (mouarf !), d'intelligence (re mouarf !) et de subtilité (re re mouarf !).
Donc oui c'est compliqué.
Exaltant et excitant et merveilleux et rageant et bandant et désespérant. Et...
Et des jours d'angoisse, d'incertitude, de doute, de remise en question, d'interrogation. Et de colère aussi.
Avec au bout l'espoir de retrouvailles aussi exaltées qu'exaltantes, brûlantes, dévorantes...
C’est déstabilisant et revigorant, galvanisant.
C’est inquiétant, remuant, rageant.
C'est chiant mais si bon...

vendredi 4 août 2017

Pour les trous du cul (Vibe et Milke pour ne pas les citer)

Puisque ma littérature ne vous vaut pas, pourquoi la lisez-vous ?
Parce qu’elle vous rappelle votre nullité à faire de même ?
Parce que votre incapacité vous mine et vous ronge ?
Parce que votre force réside à descendre les autres pour vous rehausser ?
Parce que vous êtes bêtes et rageux ?
Parce que vous ne savez rien faire d'autre que de médire ?
Parce que votre vie merdique vous incite à pourrir celle des autres ?
Parce que vous êtes nuisibles et inutiles ?
Ou juste parce que vous n'êtes rien ?